Les chercheurs inconnus ( du grand public) les plus illustres !!!

Victor Schauberger

                Né le 30 juin 1885, décédé le 25 septembre 1958, Viktor Schauberger n'a pas voulu poursuivre d'études universitaires. Il avait choisi d'être garde forestier au service d'un prince autrichien, dans la forêt sauvage de Bernerau qui faisait partie de la réserve naturelle de la famille royale. C'est là qu'il fit ses premières observations de la puissance du vortex en mouvement.
Schauberger dit : " Cela se passait au début du printemps, par une nuit au clair de lune, à la saison de la ponte. J'étais assis près d'une chute d'eau, attendant de prendre un braconnier en flagrant délit. Ce qui se produisit alors fut si rapide, que j'eus des diffcultés à comprendre ce qui se passait. La lumière de la lune tombant à la verticale dans l'eau claire comme du cristal me permettait d'observer chaque mouvement des nombreux poissons qui se regroupaient. Tout d'un coup, les truites se dispersèrent à l'apparition d'un poisson particulièrement grand qui remontait du fond pour se mesurer à la chute d'eau. Cette truite de grande taille parut vouloir perturber les autres truites en dansant selon d'amples mouvements de torsion, de va et vient dans une nage rapide. Ensuite, aussi soudainement qu'elle était apparue, la grande truite disparut dans la cataracte liquide qui brillait comme une chute de métal. Puis je la vis en un éclair, dans un courant d'eau de forme conique, danser sur un mouvement sauvage de rotation dont la raison ne m'apparut pas claire au début. C'est alors qu'elle émergea de ce mouvement rotatif et flotta vers le haut sans bouger. Enfin, lorsqu'elle atteint la courbe inférieure de la chute, elle se retourna et d'une poussée puissante, parvint à la courbe supérieure de la chute.

Plongé dans mes pensées, je remplis ma pipe et la fumais jusqu'au bout sur le chemin du retour. Par la suite, j'eus l'occasion d'observer la même séquence de jeu d'une truite sautant une chute imposante. "(" Recherche Extraordinaire " de David Ash)

Schauberger se rendit également compte que le mouvement de vortex de l'eau, un peu au dessus de 0 ° centigrade, générait une force capable de soulever des galets arrondis.

Cependant, ce qui l'intriguait le plus, c'était les truites des ruisseaux de montagne. Comment pouvaient - elles rester sans bouger, comme suspendues, dans un courant d'eau rapide, et puis, filer à la vitesse de l'éclair vers l'amont ? Il était convaincu que la turbulence et le mouvement de l'eau, à son point de densité maximale (4 ° Celsius), générait une force dans la direction opposée à celle du courant. Il était également convaincu que cette force était à l'origine du soulèvement des galets et que les truites pouvaient trouver le courant d'énergie de l'amont et l'utiliser pour rester suspendues sans bouger dans un courant d'eau rapide, ou se propulser vers l'amont ou par dessus les chutes d'eau. Pour lui, la truite utilisait aussi une force générée par le mouvement en spirale de l'eau passant à travers ses ouïes et sur la surface de son corps.

Il vit aussi l'eau d'un lac, sans apport extérieur se renouveler avec un tourbillon suivi d'une gigantesque trombe.

Les disques volants de Schauberger

Schauberger " le magicien de l'eau " était reconnu pour ses constructions de canaux permettant d'accélérer l'acheminement de troncs d'arbres bien plus lourds que ce que leur poids spécifique pouvait autoriser pour un tel transport. Schauberger s'intéressait également beaucoup à l'agriculture. Ayant remarqué que les sols labourés avec des charrues de fer se desséchaient, il fabriqua une charrue recouverte de cuivre.

Lors de la seconde guerre mondiale, menacé de ne plus jamais revoir sa famille, il a été détenu par des Nazis et contraint de travailler sur son appareil. Il devait superviser une équipe, prisonnière comme lui, pour construire un nouveau vaisseau qui lévitait sans brûler de carburant. Il prit son temps car il ne voulait pas doter le troisième Reich d'un quelconque avantage. (Voir " Les sociétés secrètes " Jan van Helsing, editions Félix.)

Les installations ayant été bombardées, ils furent transférés à Leonstein pour y travailler sur un disque volant alimenté par sa turbine. Le prototype émettait des lueurs bleu-vert et laissait une lueur argentée lors de l'ascension, mais il s'écrasa au plafond du laboratoire.

En 1956 Da Neue Zeitalter publia un article dans lequel on mentionnait l'essai du premier disque d'un diamètre de 50 mètres, près de Prague. Schauberger savait bien comment faire voler ses disques, (à mach 3 dans n'importe quelle direction), mais n'avait pas résolu (volontairement ou non ?) la question du freinage, et tous les disques s'écrasèrent.

Peu après la fin de la guerre, les alliés l'empêchèrent de poursuivre ses recherches : un groupe de soldats américains arriva chez lui à Vienne, saisit l'appareil de Schauberger et mit ce dernier en garde à vue pendant six mois. Ce qu'ils laissèrent dans son appartement fut ensuite détruit par une bombe des agents soviétiques. Les autorités américaines lui interdirent de continuer ses recherches sous peine d'être à nouveau arrêté. Il a donc poursuivi ses travaux dans la plus grande discrétion.

En 1958, deux américains l'ont persuadé de venir avec son fils Walter aux USA, en lui offrant de fabriquer son appareil, son rêve de toujours. Un expert américain du nucléaire a passé trois jours entiers avec lui et a fait un rapport confirmant le bien fondé de ses travaux. Mais les personnes qui hébergeaient Schauberger et son fils se montrèrent peu pressées de développer le générateur. Le contrat stipulait le silence complet de l'inventeur sur ses travaux passés et à venir, le consortium se réservant tous les droits. Le cœur brisé, Schauberger revint en Autriche et décéda cinq jours plus tard. Son fils a gardé une rancœur vis à vis des USA qui ont tout pris à son père. On peut penser que le consortium a peut-être exploité ses travaux, particulièrement ceux qui concernaient les disques volants.

Il est très difficile de remonter la piste des écrits de Schauberger, même en les réclamant au titre du FOIA, Erwin Krieger, scientifique et industriel en retraite en a fait l'expérience. La CIA les a refusés sans toutefois confirmer ou non leur existence

Schauberger était certain que le vortex conique ou spirale cycloïde allant vers l'intérieur (implosion) était une source d'énergie. Il est le père de la technologie à implosion, principe diamétralement opposé à celui utilisé de nos jours, l'explosion.

Dans l'implosion il s'agit d'un flux en vortex auto alimenté de tout milieu liquide ou gazeux qui a un effet directeur et concentrateur et qui fait décroître la température du milieu, contrairement à ce qui est imposé par les lois de la thermodynamique.

Afin de tester son idée, Schauberger construisit une turbine produisant de l'énergie gratuite en faisant tourbillonner de l'eau glacée pour obtenir une forme de mouvement en vortex ainsi qu'une force d'antigravité. Sa turbine était basée sur le principe de torsion, d'enroulement et de rotation qu'il avait observé dans les courants d'eau rapides des ruisseaux de montagne. Les formes des turbines qu'il conçut et qui connurent le plus de succès, étaient basées sur l'idée des spirales en forme de tire-bouchon éjectées par les ouïes des truites et de ce fait, il appela son appareil, la "turbine truite" (trout turbine).

Au cours de toutes ces expérimentations, il se rendit compte que la température et la structure de l'eau étaient critiques de même que la forme de sa turbine, ainsi que les matériaux utilisés pour sa construction.

Au début des années 30, il fabriquait avec des matériaux spéciaux, des tuyaux coniques contenant une turbine spiralée, actionnée par un moteur électrique, qui éjectait un courant d'eau en vortex et dirigeait cette eau vers une turbine conventionnelle couplée à un générateur. Schauberger prétendait que lorsque l'eau passait de plus en plus vite dans la turbine en spirale, cette dernière produisait d'énormes quantités d'énergie. Une fois couplée à une dynamo, la turbine se mettait à produire plus d'électricité que le moteur n'en consommait à l'entrée. Le système s'emballait rapidement et l'appareil s'arrachait de ses points d'attaches pour aller se fracasser au plafond.

Le même phénomène se produisait lorsque Schauberger faisait ses expériences avec des turbines à air. Peu importait donc le moyen utilisé, le mouvement du vortex semblait générer de l'énergie venant apparemment de nulle part et produisait également une force d'antigravité.

Expérience de Viktor Schauberger 1955
Source NET-Journal
                Juste avant la fin de la deuxième guerre mondiale, la firme viennoise Kertl construisait et testait les turbines à vortex de Schauberger dans l'optique de les utiliser dans des moteurs d'avions. Aloys Kokaly, ingénieur, était employé dans la fabrication de certaines pièces et c'est lors d'une de ses livraisons de pièces à l'usine Kertl qu'on lui dit : " Ceci doit être préparé pour M. Schauberger selon les ordres donnés par une autorité supérieure, mais lorsque ce sera fait, il faudra le mettre dehors, car lors d'un précédent test, un de ces étranges assemblages, est passé carrément à travers le toit de l'usine."

Schauberger pensait avoir découvert un moyen de produire la fusion nucléaire à froid. En effet, il assimilait ses turbines à vortex à des engins à implosion.

Il supposait aussi que la température du sang favorisait la circulation. Pour lui, la fonction cérébrale, en particulier l'intuition, dépendait de la qualité de l'eau.
Il attribuait la majeure partie des maladies mentales à une dégradation des qualités de l'eau potable, la meilleure eau étant celle du printemps et surtout pas l'eau pure ou distillée.

Une turbine inspirée par Schauberger



Geoff Egel a eu cette idée de turbine en remarquant que, lorsque la nature veut produire de grandes quantités d'énergie, elle la récolte dans une large zone puis la comprime sur une petite, selon l'exemple des tornades ou cyclones.

On collecte l'air ambiant au moyen d'ailettes stationnaires légèrement recourbées, de taille dégressive à partir d'un grand point de collecte de départ et dirigées vers une petite zone qui amène l'air comprimé à effectuer un mouvement de cyclone en direction d'une turbine en forme d'oeuf qui, elle, entraîne un générateur électrique à courant continu ou alternatif.

La direction dans laquelle les ailettes sont incurvées déterminera le sens de rotation de la turbine et permettra alors au flux d'air d'être dirigé vers le centre et pas à l'extérieur dans une autre zone d'entrée d'air. La forme d'œuf a été choisie en fonction de ses propriétés exceptionnelles, elle permet à l'air en mouvement rapide de ralentir progressivement quand il approche du fond de la turbine en œuf, ce qui évite ainsi des dommages au matériel.

On remarque que les ailettes de collecte stationnaire peuvent être de tailles différentes, la plus grande étant la meilleure, mais elles sont fermement ancrées pour empêcher des mouvements dus aux rafales de vent. Notons que le centre de la turbine doit être libre de tourner en tout sens. Il faut seulement que les ailettes de la turbine soient un peu éloignées du moyeu mais elles doivent suivre une trajectoire en spirale du haut jusqu'en bas du moyeu.

On peut utiliser cette idée avec les nouveaux générateurs sans balais à courant continu afin d'avoir un fonctionnement vraiment efficace, et de pouvoir réduire l'usure.

Quelques écrits concernant Schauberger.

De Olof Alexandersson, (1982) " Living Water " ISBN 0 936551 57 begin_of_the_skype_highlighting              0 936551 57      end_of_the_skype_highlighting X (1996) , Gateway Books et The Great Tradition. En Allemand, il s'intitule " Lebendes Wasser " ISBN 3 85068 377 X , Ennsthaler Verlag, A 4402 Steyer.
De Callum Coats " Living energies ", Gateway Books
Implosion - the secret of Viktor Schauberger
De Jorge Resines " Secret of the Schauberger saucers "
De Jan van Helsing : "Les Sociétés secrètes" (1996), " le livre jaune n° 5 ", Editions Félix 65 grande rue, Tourrettes sur Loup 06140 Tél et fax : 04.93.59.25.70
De Jean Dragonera et Geneviève Van Quelef "Avec Tesla et Schauberger, l'énergie libre"' 12, rue du Vallespir, 66700 Argelès sur Mer.
Voir également : de Theodor Schwenk "Le chaos sensible"
Autre source d'information, le magazine trimestriel "Implosion", de Verein fuer Implosionsforschung und Anwendung , Windschlaegerstr. 58, D 77652 Offenburg.

Une expérience simple pour observer les vortex par Jean-Louis Naudin : Prendre deux bouteilles de soda de deux litres, coller les deux bouchons en plastique, et percer ensuite un trou de 9 mm en leur centre. Remplir aux trois quarts une des bouteilles. Faire tourner l'ensemble et observer l'eau dans la bouteille : elle s'écoule en formant un vortex.





Viktor Schauberger lors d'un congrès avec sur l'écran la photo de son grand-père (source NET-Journal)



Source : http://www.quanthomme.info




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